Parcelles d'imaginaire... Murmures d'Adagio...

Et ça m'file des frissons...
Quand j'écoute cette chanson...

- ¤ -

Je sens la chaleur de ta bouche sur mon corps...
De partout frissonne, et toujours en demande encore...

- ¤ -

Dévaler mes pentes...
Avaler mes larmes...
Me souffler la chaleur...
Et puis oublier l'heure...

- ¤ -

Je vois au loin, un rêve...
Pleins d'images me passer devant les yeux...
Cette chanson qui me murmure ces rêves bleus...
Cet imaginaire tendre et soyeux...

Les yeux bleus cachés derrière les fines feuilles d'un bel arbre...
Les cheveux qui volent au rythme de leurs souffles...
Et puis...
Les yeux noirs qui pénètrent...
Qui envoûtent...
Ce regard échangé...
Ce désir éprouvé...
Cet Amour destiné.

J'essaie de m'égarer dans des rêves, parfois, et puis, je finis toujours par retomber au même endroit...
Dans tes bras.
A Toi...

Tu vois, c'était pas vrai ce qu'ils disaient...
C'était pas vrai, mon Amour... je le savais.
T'es peut-être loin, mais t'es toujours là...
Je te vois pas, mais je te ressens...

C'est pas un hasard, c'est pas n'importe qui, nous deux.
C'est un passé, un présent, mais aussi un futur.
Très lointain.
Je sais qu'on ira loin... Quoiqu'il puisse arriver pour atteindre le ciel main dans la main.

Je n'suis qu'une ivre épuisée...
Et pourtant... Y'a quelque chose que je n'oublies jamais...
Jamais ne s'efface de mon coeur...
L'empreinte que tu as déposé en douceur...

La patte du Loup, à jamais en moi.
Toi.

Toi, Toi, Toi, Rien que Toi, Toujours Toi.

Ils me croient folle.
Je ne le suis que de Toi, pourtant...
C'est pas si grave, dites, Monsieur mon Amour, hein?
Je sais que j'ai pas tort.
J'veux pas.

- ¤ -

On pourra bien penser ce qu'on voudra.
Moi, je l'Aime, et puis basta.